Plaisir d'une belle balade automnale dans le bois voisin.
Certes le soleil matinal avait fuit devant les nuages chargés qui ont commencé à pleurer (en mode bruine) à peine 5 minutes après notre départ.
Certes je me "trainais" une princesse qui aime bien moins marchouiller que sa grande cousine et qu'il a fallu régulièrement motiver...
... à la recherche des 'commandes' passées : glands pour les décos de Maman, noix pour la Maitresse (j'ai compris après que marrons, châtaignes, noisettes et tout autre fruit de saison était englobé dans ce terme "noix"), pommes de pin pour le Tonton (et donc la chaudière et nos flambées hivernales)...
... à la recherche des lutins des bois qu'on entend chuchoter... sauf qu'ils sont invisibles la journée, ils se cachent, et chercher juste leurs maisons et leurs cachettes, ça a ses limites rapidement...
... à la recherche des champignons - que l'on n'a pas le droit de toucher, attention ! - qui s'égaillaient en files indiennes, en villes, en cours de récréation, en salles de classe, en aires de jeux... à terre, cachés sous les feuilles ou branchages, sur les troncs couchés ou encore debout, partout, dans toutes les positions...
Assez efficace le coup de champignons avec la multitude multicolore éparpillés de tous côtés !
Dommage, appareil photo oublié.
Deux heures de marche, c'est bon pour la santé, même si ça fait mal aux pieds, au dos et que sous la pluie ce n'est pas fun.
Et ça fatigue judicieusement les pas-encore-5-ans !
Profiter de cette nature, c'est juste cadeau.
Et finalement, sommes rentrées avec
un sac de pommes de pin détrempées (c'est lourd !),
des mini-châtaignes et leurs bogues telles des oursins,
quelques énormes marrons et leurs bogues "comme des casques de moto" (je n'ai pas cherché à comprendre)
et 1 noix.
Bonne récolte.
On y retourne quand, Tata ?*
* Une fois la pause gou-thé faite au chaud à la maison, chaussons aux pieds.