...mais on peut en dire quelques mots ! La "joueuse", incarnée par Sandrine Bonnaire, toujours remarquable, mène sa vie routinière, partagée entre sa vie de famille et le ménage dans un hôtel, ainsi que dans la résidence d'un riche américain. Elle va découvrir le jeu des échecs qui va devenir une passion, une passion dévorante, qui va quelque peu perturber et jeter le trouble dans son foyer. Comment une femme de ménage peut-elle s'intéresser à ce jeu, pourquoi ? Comme si le déterminisme social nous interdit de nous transcender, d'aller au bout de nos possibilités. Avec courage, et sans tenir compte des commentaires de son entourage, elle ira jusqu'au bout !
A la fin du film, trois vieilles dames se sont attardées pour échanger leurs impressions. Pour elles, en découvrant les échecs, l'héroïne découvre une autre vie, change de vie. En fait, l'héroïne ne change pas de vie puisque elle aime son mari - désolé, mesdames -, ne quitte pas cet homme qui a compris que le jeu d'échecs participe à son bonheur.
Non, la "joueuse" ne découvre pas une autre vie, elle fait mieux que ça : elle enrichit sa vie !
A la fin du film, trois vieilles dames se sont attardées pour échanger leurs impressions. Pour elles, en découvrant les échecs, l'héroïne découvre une autre vie, change de vie. En fait, l'héroïne ne change pas de vie puisque elle aime son mari - désolé, mesdames -, ne quitte pas cet homme qui a compris que le jeu d'échecs participe à son bonheur.
Non, la "joueuse" ne découvre pas une autre vie, elle fait mieux que ça : elle enrichit sa vie !