Un lundi matin comme les autres... ou presque.
6h30, le réveil croâsse... trop tôt.
L'ouverture du store dévoile ce qui n'est pas une surprise : 5 cm de tapis blanc et de gros flocons serrés. 2 degrés sous zéro au thermomètre.
Et pourtant il faut y aller.
Ma voiture est équipée, j'ai du temps de rab, doucement mais sûrement, ça va aller.
Pensez-vous !
Au bout d'une heure de trajet pour moins de 5 km parcourus,
avec 2 tête-à-queue et une belle glissade arrière en prime (et pourtant à moins de 30 km/h, et avec beaucoup de précautions, juré !),
la décision est sans appel : STOP !!
Pour l'instant je m'en sors bien, pas de contact matériel avec une autre voiture ou un quelconque obstacle, pas de fossé sur mon chemin. Juste trois belles frayeurs.
Mais il me reste 45 km de route sinueuse avec côtes et virages à affronter ; circulation quasi-arrêtée 3 km avant le premier village (forcément y'a un beau virage en forte côte à négocier !).
Je suis en vie, ma voiture n'a rien encore, j'arrête les frais là !
L'Education Nationale n'aura pas ma peau de cette façon (elle a bien d'autres ressources pour y arriver, croyez-moi ! ), en tout cas pas aujourd'hui. Demi-tour !
1 heure plus tard, me voilà rentrée au chaud, la voiture sagement garée sur sa place (ce ne fut pas une mince affaire que de gérer le positionnement dans ce parking non déneigé, serré et en dévers, je vous le dis).
Enlevez-moi un trentième de ma fiche de paie, bande de bureaucrates pingres, je suis en vie, c'est le principal.
Merci l'hiver pour cette journée de "vacances" supplémentaire.
6h30, le réveil croâsse... trop tôt.
L'ouverture du store dévoile ce qui n'est pas une surprise : 5 cm de tapis blanc et de gros flocons serrés. 2 degrés sous zéro au thermomètre.
Et pourtant il faut y aller.
Ma voiture est équipée, j'ai du temps de rab, doucement mais sûrement, ça va aller.
Pensez-vous !
Au bout d'une heure de trajet pour moins de 5 km parcourus,
avec 2 tête-à-queue et une belle glissade arrière en prime (et pourtant à moins de 30 km/h, et avec beaucoup de précautions, juré !),
la décision est sans appel : STOP !!
Pour l'instant je m'en sors bien, pas de contact matériel avec une autre voiture ou un quelconque obstacle, pas de fossé sur mon chemin. Juste trois belles frayeurs.
Mais il me reste 45 km de route sinueuse avec côtes et virages à affronter ; circulation quasi-arrêtée 3 km avant le premier village (forcément y'a un beau virage en forte côte à négocier !).
Je suis en vie, ma voiture n'a rien encore, j'arrête les frais là !
L'Education Nationale n'aura pas ma peau de cette façon (elle a bien d'autres ressources pour y arriver, croyez-moi ! ), en tout cas pas aujourd'hui. Demi-tour !
1 heure plus tard, me voilà rentrée au chaud, la voiture sagement garée sur sa place (ce ne fut pas une mince affaire que de gérer le positionnement dans ce parking non déneigé, serré et en dévers, je vous le dis).
Enlevez-moi un trentième de ma fiche de paie, bande de bureaucrates pingres, je suis en vie, c'est le principal.
Merci l'hiver pour cette journée de "vacances" supplémentaire.