Vous aimez les films noirs des pays nordiques ?
Voici "Mes funérailles"
Un retraité atteint d’une grave tumeur au cerveau décide de ne pas laisser passer sa dernière chance : orchestrer ses propres funérailles et y assister. Cette minisérie islandaise douce-amère propose une réflexion touchante sur notre façon d’aborder notre propre mort.
À l’annonce, en mai dernier, d’un cancer incurable, le médecin généticien Axel Khan avait déclaré : « J’aimerais que ma mort soit un chef-d’œuvre. » Cette formule ne pourrait mieux traduire le projet de Benedikt (Þórhallur Sigurðsson, alias Laddi, acteur connu en Islande pour ses rôles comiques), au centre de la comédie dramatique Mes funérailles.
Le lendemain de son pot de départ en retraite dans une Reykjavík maussade, cet ermite renfrogné apprend qu’il est atteint d’une méchante tumeur au cerveau. L’alternative ? La chimiothérapie, pour gagner quelques années mais perdre en qualité de vie, ou l’opération, avec 80 % de « chances » d’y rester… « Le jeu en vaut la chandelle », assure l’oncologue. Benni prendra le risque, à condition d’organiser ses propres funérailles, à son image et en sa présence.
À l’opposé d’« une existence plate et insipide », il va du jour au lendemain brûler cette chandelle par les deux bouts. « C’est la tumeur qui parle », croit savoir son ex-femme, une hippie qui se soigne au cacao. Pas plus que le reste de la famille, elle ne veut de cette cérémonie. Rien n’arrêtera pourtant Benni qui parvient même à faire venir à son show d’adieu deux gloires du folk et du rock des années 1970 et 1980 – les stars locales Egill Ólafsson et Helgi Björnsson, dans leur propre rôle.
(Source : telerama.fr)
https://www.arte.tv/fr/videos/100653-001-A/mes-funerailles-1-6/
Voici "Mes funérailles"
Un retraité atteint d’une grave tumeur au cerveau décide de ne pas laisser passer sa dernière chance : orchestrer ses propres funérailles et y assister. Cette minisérie islandaise douce-amère propose une réflexion touchante sur notre façon d’aborder notre propre mort.
À l’annonce, en mai dernier, d’un cancer incurable, le médecin généticien Axel Khan avait déclaré : « J’aimerais que ma mort soit un chef-d’œuvre. » Cette formule ne pourrait mieux traduire le projet de Benedikt (Þórhallur Sigurðsson, alias Laddi, acteur connu en Islande pour ses rôles comiques), au centre de la comédie dramatique Mes funérailles.
Le lendemain de son pot de départ en retraite dans une Reykjavík maussade, cet ermite renfrogné apprend qu’il est atteint d’une méchante tumeur au cerveau. L’alternative ? La chimiothérapie, pour gagner quelques années mais perdre en qualité de vie, ou l’opération, avec 80 % de « chances » d’y rester… « Le jeu en vaut la chandelle », assure l’oncologue. Benni prendra le risque, à condition d’organiser ses propres funérailles, à son image et en sa présence.
À l’opposé d’« une existence plate et insipide », il va du jour au lendemain brûler cette chandelle par les deux bouts. « C’est la tumeur qui parle », croit savoir son ex-femme, une hippie qui se soigne au cacao. Pas plus que le reste de la famille, elle ne veut de cette cérémonie. Rien n’arrêtera pourtant Benni qui parvient même à faire venir à son show d’adieu deux gloires du folk et du rock des années 1970 et 1980 – les stars locales Egill Ólafsson et Helgi Björnsson, dans leur propre rôle.
(Source : telerama.fr)
https://www.arte.tv/fr/videos/100653-001-A/mes-funerailles-1-6/