Je viens de refermer la dernière page de la trilogie écossaise romanesque de Peter May (l'île des chasseurs d'oiseaux, l'homme de Lewis et le braconnier du lac perdu).
J'ai encore l'odeur du feu de tourbe dans le nez et l'océan qui se fracasse sur les roches noires des Hébrides devant les yeux.
Alors j'écoute les chants gaéliques profonds et lancinants.
J'ai trouvé celui-ci mais il y en a d'autres.
https://www.youtube.com/watch?v=a2he1H2h5MI
J'ai encore l'odeur du feu de tourbe dans le nez et l'océan qui se fracasse sur les roches noires des Hébrides devant les yeux.
Alors j'écoute les chants gaéliques profonds et lancinants.
J'ai trouvé celui-ci mais il y en a d'autres.
https://www.youtube.com/watch?v=a2he1H2h5MI