Mes bien chères soeurs, mes bien chers frères (clin d'oeil au révérend Père Tomas 3), En ce dimanche matin, voici le meilleur de JS Bach, joué sur l'orgue de l'église St Pierre d'Arène, à Nice.
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_________________ Fabricia "Le présent est un leurre puisqu'il se transforme sans cesse en passé" (selon Flora Groult)
Soeur Fabricia, malgré tous les points que vous avez grappillés pendant mon absence au jeu sur la Savoie (mais je vais vite me rattraper ) vous êtes toute pardonnée grâce à ces deux magnifiques morceaux d'orgue.... Serions-nous tout à coup devenues des anges ? Allez ! on se secoue et "chantons tous en choeur, mes biens chers frères, mes bien chères soeurs" avec le grand Eddy !
Soit tu choisis une des vidéos, celle que tu veux nous faire voir, tu la lances et tu récupères son url personnelle - par exemple :
_________________ "Nous méritons toutes nos rencontres, elles sont accordées à notre destin et ont une signification qu'il nous appartient de déchiffrer." F. Mauriac
Salut Dom, Je crois bien n'avoir jamais entendu cette superbe Toccata aussi bien jouée que par cet organiste : il faut dire que les orgues prennent toute leur intensité dans une église... et JS Bach a composé là son chef d'oeuvre. Bonne soirée !
_________________ Fabricia "Le présent est un leurre puisqu'il se transforme sans cesse en passé" (selon Flora Groult)
Non, nous ne sommes pas des anges... et pourtant, je ne résiste pas au plaisir de partager avec vous quelques minutes offertes par mon organiste préféré :
_________________ Fabricia "Le présent est un leurre puisqu'il se transforme sans cesse en passé" (selon Flora Groult)
_________________ "Nous méritons toutes nos rencontres, elles sont accordées à notre destin et ont une signification qu'il nous appartient de déchiffrer." F. Mauriac
Fabricia a écrit: Mes bien chères soeurs, mes bien chers frères (clin d'oeil au révérend Père Tomas 3), En ce dimanche matin, voici le meilleur de JS Bach, joué sur l'orgue de l'église St Pierre d'Arène, à Nice.
Une des plus belles oeuvre du répertoire de l'orgue. (avec celle de l'art de la fugue,Die Kunst der Fuge)
J'adore la La Petite Messe Solennelle de Rossini - un sacré hédoniste ! La première fois que j'ai entendu le final, "Agnus dei", je suis resté longtemps sur les nuages avant que d’atterrir après le silence - qui est musical-, suite à la dernière note du piano (je ne me lasse pas d'écouter le piano dans cette œuvre). J'ai cherché cet enregistrement que je connaissais sur Youtube, pas trouvé, en revanche j'ai découvert cette version, peut être minimaliste au point de vue des moyens, mais que je ressens comme exceptionnelle car, comme la première fois, je suis resté en suspens avant que les applaudissements se déclenchent. Peut être y avait-il Fabricia dans le public?
Il n'y a pas besoin de croire en Dieu pour aimer, apprécier le sublime d'une œuvre !