Biographie de Michel Pageau par Françoise Perriot. Editions du Seuil.
Trappeur j’ai entendu pleurer la forêt.
Pour celles et ceux qui n’aiment que les pays bruyants, exubérants, aux senteurs enivrantes et aux saveurs colorées, ce livre n’est pas pour vous.
Pour celles et ceux qui aiment ces pays mais qui peuvent aussi en apprécier d’autres, ce livre est peut-être pour vous.
Enfin, pour celles et ceux qui aiment les grands espaces où la chaleur d’un bref été rivalise avec le froid mordant d’un long hiver, les silences qui en disent tant et les liens viscéraux qui unissent les hommes aux animaux et à la Nature, alors ce livre est certainement pour vous.
Bien au-delà d’une simple biographie, fort intéressante au demeurant, on découvre au fil des pages l’immense forêt boréale d’Abitibi, aux confins du Québec et des territoires du Grand Nord, on partage la vie de quelques familles et puis on s’interroge sur ce monde qui se déglingue.
L’écriture est tout à la fois fine, drôle et poétique, alliant avec un plaisir évident le langage conventionnel au langage imagé « des gens d’en haut qui ont le cœur chaud même quand il fait fret »
Dolma
J'ai mis ce message sur VF parce que des gens qui ne sont pas ici me l'ont demandé.. C'est pas grave ?
Trappeur j’ai entendu pleurer la forêt.
Pour celles et ceux qui n’aiment que les pays bruyants, exubérants, aux senteurs enivrantes et aux saveurs colorées, ce livre n’est pas pour vous.
Pour celles et ceux qui aiment ces pays mais qui peuvent aussi en apprécier d’autres, ce livre est peut-être pour vous.
Enfin, pour celles et ceux qui aiment les grands espaces où la chaleur d’un bref été rivalise avec le froid mordant d’un long hiver, les silences qui en disent tant et les liens viscéraux qui unissent les hommes aux animaux et à la Nature, alors ce livre est certainement pour vous.
Bien au-delà d’une simple biographie, fort intéressante au demeurant, on découvre au fil des pages l’immense forêt boréale d’Abitibi, aux confins du Québec et des territoires du Grand Nord, on partage la vie de quelques familles et puis on s’interroge sur ce monde qui se déglingue.
L’écriture est tout à la fois fine, drôle et poétique, alliant avec un plaisir évident le langage conventionnel au langage imagé « des gens d’en haut qui ont le cœur chaud même quand il fait fret »
Dolma
J'ai mis ce message sur VF parce que des gens qui ne sont pas ici me l'ont demandé.. C'est pas grave ?