J’avais présenté il y a quelques temps « Les Saisons de la Solitude » de cet écrivain canadien aux racines indiennes que je continue de découvrir avec gourmandise.
Les histoires qu’il raconte vont –impossible d’en douter- bien au-delà de la fiction. Ses personnages entrelacent leurs destins dans les bars, autour d’un bingo ou dans une église. Ils picolent, se chamaillent, s’aiment, s’accrochent tant bien que mal à ces bouts de vies entre sourire et désespérance.
L’écriture oscille toujours entre humour, dérision mais aussi immense tristesse, à l’image des âmes de ces gens que l’auteur entrouvre si magnifiquement.
Je vois de temps à autres des messages de celles et ceux qui « voudraient aller à la rencontre des Indiens », qui « voudraient vivre des expériences sur des réserves »… Ils devraient lire Joseph Boyden.
Mais peut-être ne passeront-ils pas par ici…
Dolma
Les histoires qu’il raconte vont –impossible d’en douter- bien au-delà de la fiction. Ses personnages entrelacent leurs destins dans les bars, autour d’un bingo ou dans une église. Ils picolent, se chamaillent, s’aiment, s’accrochent tant bien que mal à ces bouts de vies entre sourire et désespérance.
L’écriture oscille toujours entre humour, dérision mais aussi immense tristesse, à l’image des âmes de ces gens que l’auteur entrouvre si magnifiquement.
Je vois de temps à autres des messages de celles et ceux qui « voudraient aller à la rencontre des Indiens », qui « voudraient vivre des expériences sur des réserves »… Ils devraient lire Joseph Boyden.
Mais peut-être ne passeront-ils pas par ici…
Dolma