Les parasols fermés, sentinelles multicolores, se jouent du soleil et du vent.
Le sable a perdu son éclat et s’étale, fatigué et poussif, sur le seuil des cabines.
C’est la fin d’un été.
Les enfants, entre bottes et bonnet, tendent les bras vers des ballons qui s’envolent
Et les mouettes pas rieuses mais gourmandes picorent de-ci de-là les miettes d’un goûter.
C’est la fin d’un été.
Un banc. Une petite vieille emmitouflée de pâle feuillette un journal.
Un autre banc. Un petit vieux emmitouflé de gris fait semblant de dormir.
Et s’ils étaient assis ensemble sur le même banc… Hypothèses.
C’est la fin d’un été.
Les lunettes de soleil sont encore posées sur le nez
Mais on cache ses épaules sous une petite laine
On ramasse quelques coquillages au bord des vagues
On boit un chocolat à une terrasse presqu’abandonnée.
Et puis
Quand la lumière du jour se fait plus douce
Il est temps de rentrer.C’est la fin d’un été.
Dolma
Le sable a perdu son éclat et s’étale, fatigué et poussif, sur le seuil des cabines.
C’est la fin d’un été.
Les enfants, entre bottes et bonnet, tendent les bras vers des ballons qui s’envolent
Et les mouettes pas rieuses mais gourmandes picorent de-ci de-là les miettes d’un goûter.
C’est la fin d’un été.
Un banc. Une petite vieille emmitouflée de pâle feuillette un journal.
Un autre banc. Un petit vieux emmitouflé de gris fait semblant de dormir.
Et s’ils étaient assis ensemble sur le même banc… Hypothèses.
C’est la fin d’un été.
Les lunettes de soleil sont encore posées sur le nez
Mais on cache ses épaules sous une petite laine
On ramasse quelques coquillages au bord des vagues
On boit un chocolat à une terrasse presqu’abandonnée.
Et puis
Quand la lumière du jour se fait plus douce
Il est temps de rentrer.C’est la fin d’un été.
Dolma