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Les hauts de hurle-vent de Emily Brontë est de ces livres dont tout le monde a entendu parler mais... combien l'ont lu? Je suis de ceux qui ne l'ont jamais lu, j'ajoute que j'avais une vague idée de l'histoire parce qu'il y a eu de nombreuses adaptations cinématographiques.
En me baladant dans Paris, il m'arrive de découvrir des livres sur un banc publique, ou sur le rebord d'une fenêtre, en tout cas je m'arrête à chaque fois comme me l'invite toujours ma curiosité insatiable. Et c'est ainsi que j'ai découvert, abandonné, "Les hauts de hurle-vent" dans une édition de 1950, chez Payot, traduit par Frédéric Delebecque.
J'avoue, j'ai été surpris par la violence, le tragique de cette histoire déclenchée par un geste d'humanité gratuit. L'enfant abandonné, introduit dans une famille qui le rejettera, trouvera du soutien moral et chaleureux avec la fillette de la dite famille et qui, au cours des années, se transformera en un amour étourdissant, démentiel, au delà de la mort. La vengeance de cet enfant, devenu adulte, sera effrayante, impitoyable et portant compréhensible... disons avec circonstances atténuantes.
Il y a dans cette histoire de la tragédie grec, un peu de roman gothique, et une écriture qui nous entraîne facilement dans les méandres de la psyché des personnages (il semblerait que la traduction de F.Delbecque fasse référence).
Vraiment surpris par ce roman, je le répète, d'une violence incroyable.
( on peut l'avoir pour pas cher sur les e-books)
Les Hauts De Hurle-vent
"Les hauts de hurle-vent de Emily Brontë est de ces livres dont tout le monde a entendu parler mais... combien l'ont lu? Je suis de ceux qui ne l'ont jamais lu, j'ajoute que j'avais une vague idée de l'histoire parce qu'il y a eu de nombreuses adaptations cinématographiques.
En me baladant dans Paris, il m'arrive de découvrir des livres sur un banc publique, ou sur le rebord d'une fenêtre, en tout cas je m'arrête à chaque fois comme me l'invite toujours ma curiosité insatiable. Et c'est ainsi que j'ai découvert, abandonné, "Les hauts de hurle-vent" dans une édition de 1950, chez Payot, traduit par Frédéric Delebecque.
J'avoue, j'ai été surpris par la violence, le tragique de cette histoire déclenchée par un geste d'humanité gratuit. L'enfant abandonné, introduit dans une famille qui le rejettera, trouvera du soutien moral et chaleureux avec la fillette de la dite famille et qui, au cours des années, se transformera en un amour étourdissant, démentiel, au delà de la mort. La vengeance de cet enfant, devenu adulte, sera effrayante, impitoyable et portant compréhensible... disons avec circonstances atténuantes.
Il y a dans cette histoire de la tragédie grec, un peu de roman gothique, et une écriture qui nous entraîne facilement dans les méandres de la psyché des personnages (il semblerait que la traduction de F.Delbecque fasse référence).
Vraiment surpris par ce roman, je le répète, d'une violence incroyable.
( on peut l'avoir pour pas cher sur les e-books)