Carnet de voyage (suite)
Mercredi
Et voilà, cette petite semaine de vacances siciliennes se termine.
Je profite de quelques instants de battement entre la douche et une soirée improvisée avec cousines, cousin, tata, tonton, retrouvés par un heureux hasard dans le même 'hôtel' que moi ; je profite de quelques instants de solitude dans ce dortoir où il semble que je vais passer la courte nuit seule, pour tenter de mettre à jour ce carnet de voyage… qui se finira forcément en carnet de maison.
De Catane je ne verrai donc pas grand-chose, l’invitation imprévue familiale sur la terrasse voisine remplaçant la flânerie solitaire initialement prévue dans les rues, ruelles et places du centre historique de la ville dont je suis à quelques pas. Ce n’est pas grave, ce sera pour une autre fois… peut-être.
La journée a déjà été riche en bonheur de découvertes… : nous avons grimpé sur l’Etna !!
Entre les longues heures de route aux paysages et ambiances variées pour atteindre le départ de cette aventure volcanique et l’excursion en elle-même, je me sens quelque peu rassasiée pour ce soir, il faut l’avouer. Les piazza, castello, basilica et autres amas rangés de pierres plus ou moins vieilles et colorées ne me manqueront pas vraiment, d’autant que le jour décline et que certaines ruelles ne sont peut-être pas si sécuritaires pour lajeune (ha non, c’est vrai, je dois maintenant oublier ce qualificatif !) femme touriste que je suis... Quoique les rues et ruelles empruntées pour arriver jusqu’ici depuis la dépose effectuée par frérot à quelques pâtés d’immeubles de là ne m’ont aucunement procuré de malaise ou de sensation de dangers.
L’Etna, c’était donc l’objectif de ce jour… et il faudra que je raconte cela, autant que ce soit possible.
Mais avant, hier, il y a eu une autre belle journée passée sur la côte nord, au cœur de la cité médiévale de Cefalù. Une journée plaisir où se sont entremêlés plaisir de la marche, plaisir des yeux, plaisir du nez et des papilles, flânerie en ville et trempette sur la plage, grand air et pizza délicieuse, bronzage d’action et coucher de soleil tout en lenteur…
Cefalù, j’ai aimé, beaucoup ; et je comprends bien pourquoi le Wap’frérot était ravi de m’y emmener malgré leur première visite quelques jours plus tôt. Il ferait bon y retourner encore, sans aucun doute.
Mercredi
Et voilà, cette petite semaine de vacances siciliennes se termine.
Je profite de quelques instants de battement entre la douche et une soirée improvisée avec cousines, cousin, tata, tonton, retrouvés par un heureux hasard dans le même 'hôtel' que moi ; je profite de quelques instants de solitude dans ce dortoir où il semble que je vais passer la courte nuit seule, pour tenter de mettre à jour ce carnet de voyage… qui se finira forcément en carnet de maison.
De Catane je ne verrai donc pas grand-chose, l’invitation imprévue familiale sur la terrasse voisine remplaçant la flânerie solitaire initialement prévue dans les rues, ruelles et places du centre historique de la ville dont je suis à quelques pas. Ce n’est pas grave, ce sera pour une autre fois… peut-être.
La journée a déjà été riche en bonheur de découvertes… : nous avons grimpé sur l’Etna !!
Entre les longues heures de route aux paysages et ambiances variées pour atteindre le départ de cette aventure volcanique et l’excursion en elle-même, je me sens quelque peu rassasiée pour ce soir, il faut l’avouer. Les piazza, castello, basilica et autres amas rangés de pierres plus ou moins vieilles et colorées ne me manqueront pas vraiment, d’autant que le jour décline et que certaines ruelles ne sont peut-être pas si sécuritaires pour la
L’Etna, c’était donc l’objectif de ce jour… et il faudra que je raconte cela, autant que ce soit possible.
Mais avant, hier, il y a eu une autre belle journée passée sur la côte nord, au cœur de la cité médiévale de Cefalù. Une journée plaisir où se sont entremêlés plaisir de la marche, plaisir des yeux, plaisir du nez et des papilles, flânerie en ville et trempette sur la plage, grand air et pizza délicieuse, bronzage d’action et coucher de soleil tout en lenteur…
Cefalù, j’ai aimé, beaucoup ; et je comprends bien pourquoi le Wap’frérot était ravi de m’y emmener malgré leur première visite quelques jours plus tôt. Il ferait bon y retourner encore, sans aucun doute.